Découvrez l’histoire fascinante du nom « Ndiaye », un pilier de l’identité sénégalaise lié au premier Bourba-Djolof, Ndiadiane Ndiaye. Plongez dans les racines culturelles et historiques de ce nom emblématique, qui incarne la diversité et la richesse de la société sénégalaise à travers les âges. Explorez son impact sur l’identité et la culture du Sénégal et de l’Afrique de l’Ouest.
Pour une globalité Noire
Explorez le concept de ‘globalité Noire’ et découvrez comment le Koujichagoulisme peut unir les communautés Afro-diasporiques pour construire un avenir prospère et respecté.
Définitions et Dimensions du Globalisme
Le terme globalisme est complexe, et il faut reconnaître que bien que critiquable, il reste un terme ambigu, qu’il ne faut pas confondre avec « globalité » (dans son sens géopolitique). Le globalisme dérive du terme globe et nous amène au concept d’univers, de monde et d’espace, traçant une relation entre ce dernier et les peuples. C’est un concept géopolitique-social. Son aspect économique est la globalisation.
Nous pouvons différencier le globalisme en trois catégories principales :

- GLOBALISME PLURALISTE : Il existe une forme de globalisme qui reconnaît l’existence de plusieurs peuples et familles humaines, mais vise à garantir que ceux-ci, tout en respectant leur essence, puissent collaborer et apprendre à se connaître. Converger vers le même destin. Différentes formes de globalisme ont existé à différentes étapes de l’histoire, depuis l’Antiquité. Le dialogue entre les Égyptiens de l’Antiquité, les Grecs de l’Antiquité et les Romains de l’Antiquité était une forme de globalisme pluraliste, tout comme l’interaction entre le peuple Manden et les populations originelles d’Amérique (appelées Amérindiens). Les Empires de l’histoire classique se considéraient comme universels (Égypte Noire impériale Antique/Rome Impériale Antique), mais reconnaissaient la différence dans cette universalité. Il n’y avait aucune volonté de gommer le tissu ethnoculturel de l’autre. C’est une constante de l’Empire, qui se distingue de l’impérialisme destructeur, imposant et pilleur (phase suprême du capitalisme, pour reprendre le langage marxiste).

- GLOBALISME MONDIALISTE: Cette forme de globalisme est basée sur le mondialisme (mondialisme et globalisme ne sont pas synonymes dans le lexique géopolitique, bien qu’ils puissent sembler similaires, mais l’un peut être basé sur l’autre). Qu’est-ce que le mondialisme exactement ? Le mondialisme est la vision américano-centrée (pour ne pas dire occidentaliste) du globe, le paroxysme de la globalisation. Le mondialisme a muté du capitalisme, après la défaite du communisme et la victoire libérale-occidentale, il s’impose et attaque avec force les différentes communautés et peuples au nom de la démocratie néolibérale. Pour le globalisme mondialiste (ou tout simplement « mondialisme néolibéral »), l’objectif est la création d’un Nouvel Ordre Mondial, dirigé par une oligarchie qui se définit comme occidentale, mais qui n’a en réalité pas de Patrie et idolâtre l’argent.
Le globalisme mondialiste repose sur le monopolarisme, c’est-à-dire l’idée qu’il doit y avoir un pôle unique (celui occidental) garantissant l’équilibre mondial, comme le prédisait Francis Fukuyama à travers le concept de « fin de l’Histoire ». Ce concept de monopolarisme combat le multipolarisme qui consacrerait l’idée d’un monde fondé sur des Civilisations et des États Impériaux. Au sein de ce monopolarisme qui caractérise le globalisme mondialiste néolibéral, il existe une autre branche développée par les États-Unis sous Barack Obama, appelée « multilatéralisme ». Il ne faut pas confondre le multilatéralisme et le multipolarisme. Le multilatéralisme ne reconnaît pas les centres de décision, il ne voit pas le monde en blocs ou en Civilisations. Il rejette cette idée.
Pour le multilatéralisme, il y aurait des États nationaux qui auraient la liberté d’être des acteurs sur la scène géopolitique, tant que l’on reste dans le paradigme néolibéral et américano-centré tracé par l’ordre monopolaire. Le multilatéralisme est donc la « suprématie américaine » (à la Kissinger) déguisée en multipolarisme.

- GLOBALISME NATIONAL-IMPERIALISTE: C’est un globalisme qui reconnaît l’existence de multiples familles et civilisations humaines, mais pretend qu’une Civilisation doit prévaloir sur une autre (un exemple ? Hitler et ses idées folles de supériorité raciale avec lesquelles il voulait prévaloir en Europe). Cette forme reconnaît l’ethno-pluralisme, hiérarchisant ceux qui devraient dominer ou être dominés, derrière une vision impérialiste.
Globalité Noire : communautarisme mélanoderme

La globalité est un ensemble, ce qui contient, une sorte de monde, un continent. Lorsque je parle de « globalité Noire », je fais donc référence au monde diasporique Noir africain et au monde continental Africain. Les Noirs d’Europe occidentale, d’Asie, d’Océanie et des Amériques doivent penser en termes de communautarisme Noir fermé, avec pour objectif ultime la globalité Noire (l’Empire Noir mondial). L’Homme Noir doit s’unir où qu’il soit, tracer une union fondée sur le communautarisme et sa propre universalité.
Pour cela, les communautés Afro-diasporiques doivent s’organiser sur tous les continents : il faudra un conseil de base qui devra élire un représentant général de la communauté, un coordinateur du système économique intra-solidaire communautaire (le Benda, mon concept fondé sur l’entraide, qui signifie »harmonie » / »union » en langue Kissi). Cela sera valable pour les nations. Par la suite, il faudra qu’il y ait un représentant supérieur au niveau continental (Europe, Asie, Océanie, Amériques), qui sera en synergie directe avec les représentants nationaux de ces régions.
Ce représentant supérieur continental sera élu par un conseil des base continentale supérieure. Il sera en communication directe avec les représentants nationaux de la communauté Noire, et avec le continent Africain. Dans cette dynamique de discipline et d’organisation rigoureuse, il sera possible de construire un communautarisme Afro-diasporique sain, en vue d’une globalité Noire qui ne tombera pas dans le magma du globalisme mondialiste.
Globalité Noire : Le Neter Farafina Himaya

Si les diasporas Noires s’organisent, l’Afrique continentale, qui en sera la base et la coordonnatrice suprême, se constituera en « Empire Noir Puissant » (Neter Farafina Himaya). Dans la logique du panafricanisme linguistique, je l’appellerais ainsi, car je combine 3 langues Africaines : Neter (Puissant/Sacré, en égyptien ancien), Farafina (Terre des Noirs, dans les langues d’origine mandingue, parlée en Afrique de l’Ouest), Himaya (Empire en swahili, parlé en Afrique centrale et orientale). Le Neter Farafina Himaya devra donc unir les États Noirs (Afrique subsaharienne), pour former une Civilisation puissante dans la logique du multipolarisme face au globalisme mondialiste.
Il devra y avoir un conseil de sages qui gouvernera l’Empire, et le prolongement de ces sages sera un Guide nommé. Mais le pouvoir devra être divisé et non concentré entre les mains d’une seule personne. Le Guide devra désigner des personnes institutionnels qui seront en synergie avec les différents représentants de la diaspora. La globalité Noire devra également s’appliquer sur le continent Africain : les populations Noir foncé/Noir clair d’Afrique du Nord devront s’organiser sur le même modèle des diasporas Noires dans le monde, avec un conseil de base plebiscité par la communauté, conseil qui désignera à son tour un représentant général Noir pour le Maghreb et un coordonnateur de l’économie communautaire des Noirs.
Je définirais le modèle conseil-représentant-coordinateur économie, avec le nom de « koujichagoulisme », de kujichagulia qui signifie « autodétermination » en langue swahili.
Le koujichagoulisme s’inscrit dans la logique de la globalité Noire et doit être lié au sort du NFH (Neter Farafina Himaya). Ce n’est qu’en unifiant les communautés Noires koujichagoulistes du monde entier et le NFH en un seul ensemble (globalité Noire) que nous pourrons résister efficacement au mondialisme néolibéral. Le NFH remplacera le micronationalisme africain (de forme occidental) par une union supérieure, qui est la globalité Noire (Afrique subsaharienne et composantes Noires en Afrique du Nord + communautés Noires koujichagoulistes à travers le monde).
Cette globalité Noire devra être un mélange de Black-nationalism, progrès Noir, révolutionnarisme radical Noir, juste équilibre entre sankofa et évolution/innovation, de juste équilibre entre technologie contemporaine et technique Africaine, d’industrialisation au sens Africain, de panafricanisme, de multipolarisme, solidarité Noire, progrès scientifique au sens Africain, une langue continentale (elle pourrait être le swahili) avec un alphabet continental (ça pourrait être le N’ko), un corp militaire panafricain, une nouvelle forme d’État aux caractéristiques Noires Africaines, harmonie religieuse, harmonie sociale (lutte contre le tribalisme, contre la xénophobie, contre l’ethnocentrisme, contre l’homophobie, contre le suprémacisme religieux, etc.). Je parle d’un NFH ouverte à tous les Noirs du monde.
Contrairement à ce que j’ai pu affirmer par le passé, je ne crois pas à un « front identitaire entre Africains et Européens », à l’exception des mouvements populaires très respectables comme les gilets jaunes auxquels je manifèste ad vitam aeternam ma solidarité. L’Africain qui a souffert de 500 ans d’esclavage, d’un demi-siècle de colonialisme et du néocolonialisme contemporain, ne peut s’empêcher de considérer avec dédain et mépris les prétendues forces « identitaires » en Europe qui ne critiquent jamais les causes du dumping social.
Cela en fait des outils inconscients des mondialistes (au meme niveau de la gauche paternaliste européenne), de ces « migrants de la finance, des médias et de la politique » qui n’attaquent jamais. Les communautés koujichagoulistes diasporiques Noires peuvent collaborer avec tous les nationalismes révolutionnaires et anti-impérialistes qui luttent pour la justice sociale et luttent contre l’élite financière apatride. Mais parmi eux, le nationalisme européen est différent des autres. Se battre pour son peuple ne signifie pas être hostile aux autres.
En résumé, le Neter Farafina Himaya et ses communautés Noires koujichagoulistes rejetteraient donc le mondialisme néolibéral et n’appliqueraient aucune prévarication sur les autres. La NFH et les communautés Noires koujichagoulistes se considéreront comme leur propre univers. Ils ne seront pas hostiles à l’interaction les uns avec les autres, tant qu’il y aura du respect pour notre Noire essence. Mais pour qu’il y ait création de communautés Noires koujichagoulistes dans le monde, liées à un hypothétique pôle Noir, il est important que ces communautés Noires koujichagoulistes (CNK) sachent qui ils sont, afin d’échapper aux tentacules des formes anciennes et nouvelles d’oppression caucasienne.
Les Noirs sont les aborigènes de l’humanité

Aujourd’hui, la majorité des chercheurs, anthropologues, paléontologues ou historiens, partagent l’affirmation selon laquelle l’Afrique est la matrice de l’Humanité. Cela fait des Noirs les Aborigènes de l’Humanité, c’est-à-dire le Peuple Originel du monde. La matrice Noire, comme l’ont démontré Cheikh Anta Diop et nombre de ses disciples, réside dans la civilisation KMT (Kemet). KMT est le nom donné à l’Egypte par les indigènes, signifiant « Terre appartenant aux Noirs ».
Cheikh Anta Diop aborde de manière exhaustive la question de l’Egypte Noir, avec des preuves scientifiques, historiographiques, linguistiques et culturelles, dans ses livres « Nations Nègres et Culture », « L’origine de la civilisation africaine », « L’Afrique noire précoloniale » , « Civilisation ou barbarie », « Antériorité des civilisations nègres : mythe ou vérité historique ? » et bien d’autres ouvrages. Partant de sa théorie d’une matrice commune pour les Noirs identifiée dans le KMT, il affirmera dans son livre « Les fondaments économiques et culturels d’un État fédéral d’Afrique noire» la nécessité pour les Africains de construire un État fédéral Noir, qui pourrait être le juste équilibre entre la gloire du KMT et l’ère contemporaine.
L’Homme Originel est l’Histoire, il est présent partout et a laissé des traces partout. Aujourd’hui, on tente d’opposer les Africains Noirs avec les Aborigènes d’Australie, les Dravidiens de l’Inde , les Négritos des Philippines, les Noirs d’Amériques et d’autres populations mélanodermiques. En réalité, tous sont les descendants de l’Homme Originel d’Afrique Noire. Ce que les diasporas Noires du monde entier doivent comprendre aujourd’hui, c’est qu’à une époque où les nationalismes mélanodermophobes émergent de plus en plus, nous devons nous rappeler que les mélanodermes constituent l’aboriginalité du monde.
Cela légitime la nécessité de construire une globalité Noire, un melanodermisme, fondés sur la solidarité globale des peuples Noirs et mélanodermiques en général. Des mélanodermes qui vivaient dans le solidarisme (Ubuntu), en royauté et majesté partout, avant même que l’Homme que l’on peut appeler leucoderme (terme scientifique utilisé régulièrement par Cheikh Anta Diop pour définir les populations blanches) ne voie le jour. L’Afrique est la base de toutes les connaissances dont nous bénéficions aujourd’hui (sciences, mathématiques, physique, chimie, religion, philosophie, astronomie, etc.) et c’est précisément pour cette raison que dans l’Antiquité, il n’était pas rare que des penseurs leucodermes aillent se former en Afrique (exemples ? Thalès, Pythagore, Platon, Archimède).
Les Noirs sont la base de tout, et il est nécessaire que les Noirs eux-mêmes et les différentes communautés koujichagoulistes qui vont se structurer en prennent conscience.
Rencontre/choc entre les originaux et les populations leucodermes

À un certain moment de l’histoire des Noirs, l’élite politique de la population récente à l’échelle planétaire, qui est celle leucoderme, croyait que ce qui était nouveau pour elle l’était aussi pour les autres. Elle va alors commencer à mener une croisade contre les Originaux. Tout ce qu’elle trouve dans les sociétés mélanodermiques originelles, elle le définira comme « sauvage » et « primitif », tandis que tout ce que l’élite de cette civilisation leucoderme découvre comme nouveau (pour elle seule), elle l’imposera avec force aux autres, au nom d’un prétendue mission civilisatrice.
Cette élite leucoderme (via ses missionaires) est la même que celle qui, lorsqu’elle s’est rendue en Amérique, avait la présomption et l’arrogance de prétendre avoir découvert un « Nouveau » Monde, ignorant que les populations originelles existaient dans cette partie du monde depuis des siècles et des millénaires. On peut également prendre l’exemple du concept de « Nouvel Ordre Mondial ». Il est vrai que nous utilisons tous cette terminologie pour identifier un projet cohérent avec la fin du projet raciste d’une mission civilisatrice, cette fois étendue à l’humanité dans son ensemble, mais il convient de souligner que le Nouvel Ordre Mondial pour les Caucasiens ne l’est pas nécessairement pour les populations sombres aux 4 coins du monde qui ont subi une oppression séculaire (Ancien Ordre Mondial) : Australie, Amériques, Afrique, Asie, etc.

Tout cela doit être identifié dans un système qui caractérise la globalité leucoderme, c’est-à-dire le pillage et l’accumulation de biens matériels au prix de l’oppression (capitalisme). Cette vision néfaste du monde est à l’origine de l’esclavage, du colonialisme et du néocolonialisme. Au fil du temps, les Noirs se sont éloignés de leur matrice Africaine, exigeant de s’intégrer dans une maison en feu, dans un monde civilisationnel construit avec le sang, le bellicisme et l’ostracisme des Noirs et des peuples sombres en général.
Face à cette réalité, les Noirs se retrouvent face à 2 dichotomies antagonistes l’une de l’autre, mais toutes deux liées au système capitaliste et au suprémacisme blanc : la droite/extrême droite et la gauche libérale. Ce sont toutes des catégories anti-Noirs, donc contre les Aborigènes de l’Humanité. Tous deux sont le produit du suprémacisme blanc. Les Noirs (ainsi que tous les peuples sombres du monde entier) doivent être vigilants. D’où la nécessité d’appliquer le modèle du Koujichagoulisme que j’ai exposé.
Union de la Famille Noire Globale autour du Koujichagoulisme : lutte contre le néocolonialisme, contre le racisme, contre l’homophobie, contre le colorisme, contre la jalousie au sein des Noirs

Ce qu’il faut, c’est un koujichagoulisme radicale, une rupture avec le système capitaliste toubab (avec son privilège blanc, hétéro-normatif, sexiste, raciste, coloriste et homophobe). Il ne doit pas s’agir d’une ropture dans l’hostilité (même le prolétariat blanc, à des degrés divers évidemment, subit les coups de l’élite capitaliste), mais d’un combat d’autodétermination (des communautés de destin autodéterminées). Le Koujichagoulisme répond à ce besoin d’autodétermination et doit conduire à la nécessité de nous organiser en communautés collectives sur les principes du Black Power. Cela garantira le développement des diasporas Noires, du continent Noir, et permettra une plus grande synchronisation entre l’Afrique et ses diasporas dans le monde.

–Lutte contre le néocolonialisme : L’Afrique doit se débarrasser des chaînes néocoloniales et parvenir à son autodétermination. Ce n’est qu’en dépassant le concept d’État national et en se structurant en un Pôle Noir (NFH), lié à sa diaspora à travers le monde (CNK), qu’elle pourra accélérer sa résistance au colonialisme contemporain.

–Lutte contre le racisme : La lutte contre le racisme sera consubstantielle à la création de communautés Noires koujichagoulistes (CNK), puisqu’une communauté organisée, forte et disciplinée peut répondre aux coups du suprémacisme économique blanc, qui asphyxie la Famille Noire Globale avec des modèles anti-Ubuntu. La lutte contre le racisme doit être basée sur ceci : sur une résistance radicale au système capitaliste blanc dans la diaspora et en Afrique, car le suprémacisme blanc et capitalisme vont de pair.
“Il ne peut pas y avoir de capitalisme sans racisme” – Malcolm X
“Si un homme blanc veut me lyncher, c’est son problème, s’il utilise son pouvoir pour me lyncher, c’est mon problème. Le racisme n’est pas une question d’attitude, mais de pouvoir” –Stokely Carmichael (Kwame Ture)

–Lutte contre l’homophobie : L’homophobie est un produit délétère du système capitaliste blanc. Il faut rappeler à ceux qui pensent que l’homosexualité est une « invention blanche », qu’elle était en réalité présente dans de nombreuses sociétés précoloniales (aujourd’hui Angola, Cameroun, Soudan, Namibie, Burkina Faso, Nigeria, Côte d’Ivoire, Ghana, Kenya). Knumhotep et Niankhkhnum furent le premier couple homosexuel de l’histoire, ils vivaient dans l’Egypte ancienne ; on peut citer le roi Mwanga II du Buganda (dans l’actuel Ouganda) qui était également homosexuel avant l’avènement du christianisme occidental ; dans la diaspora Noire, dans la diaspora Noire il y a eu des nombreux figures homosexuels Noirs (engagés en première ligne pour la cause des Noirs) comme James Baldwin, et bien d’autres.
L’homophobie a pénétré l’Afrique avec la culture coloniale et ses réflexes réactionnaires. On ne peut donc pas parler de « Renaissance Noire » et d’« Union Noire », excluant, persécutant et opprimant une partie de la Famille Noire Globale. Quiconque agit dans une logique de répression est un anti-panafricaniste. Pour qu’il y ait un Koujichagoulisme sain, il faudra une lutte acharnée contre l’homophobie et contre toute discrimination qui ostracise une partie de la Famille Noire Globale et alimente le suprémacisme blanc. L’un des leaders panafricains qui s’ext exprimé publiquement contre l’homophobie est Julius Malema en Afrique du Sud.
“ Les homosexuels ne sont pas les ennemis du peuple. (…) Un homosexuel pourrait être le plus révolutionnaire.” –Huey P. Newton

–Lutte contre le colorisme : Un autre cancer de la pensée suprémaciste blanche et de l’idéologie coloniale est le colorisme. Le colorisme est la pensée raciste qui voudrait opposer les Noirs à la peau plus foncée et les autres Noirs à la peau plus claire. En raison d’un complexe d’infériorité injecté par le colonisateur barbare dans l’esprit des Originels, il peut y avoir des cas dans lesquels ceux que je définis comme des Noirs clairs (et que le suprémacisme blanc, ainsi que la pensée blanche unidirectionnelle définit comme des « métis » ou « mulâtres ») rejettent leur identité et leur essence Noire, stigmatisant ceux qui sont plus sombres qu’eux.
Il existe souvent aussi des cas inverses, dans lesquels le Noir foncé verra le Noir clair comme une partie non intégrante de la Communauté. Ce sont ces divisions horizontales fondées sur des réflexes coloniaux et racistes qui ne permettront jamais de réaliser une véritable union. Le Noir clair né d’un couple mixte est et restera toujours Noir. L’une des zones géographiques où le colorisme est le plus brutal est le Brésil. Dans un article sur Nofi Media, qui a pour titre »COMMENT DEFINIR UNE PERSONNE NOIRE D’ASCENDANCE MIXTE : MULATRE OU/ET METIS? » , l’auteur Amadu Kunta Akil Bumbesia écrit :
Je crois que le taux de mélanodermie importe peu, nous faisons tous partie intégrante de la Famille Noire Globale et nous portons avec nous l’héritage de l’aborigènité en tant que Peuple Originel indivisible.

“L’Afrique est tout pour moi. Je dois montrer au monde à quel point la partie africaine de moi reste la plus importante. Même si à vos yeux je suis à moitié Blanc et à moitié Noir, je sais que je suis Noir. Mon héritage vient d’Afrique.” –Bob Marley

–Lutte contre la haine de soi, la jalousie et la concurrence au sein de certains Noirs : La haine envers soi-même, envers son propre peuple, est le meilleur carburant pour les forces extérieures. Tout comme la jalousie, l’envie, la compétition, l’individualisme (maladies infantiles du capitalisme) parmi les Noirs contribuent à exacerber le suprémacisme blanc. Quel devrait être le rôle des Noirs partout dans le monde ? S’unir! S’aimer l’un l’autre! Se soutenir ! S’entraider! Aller au-delà des différences pour se concentrer sur la communauté et la collectivité. Tel doit être le rôle du Koujichagoulisme. Si un Noir émerge, c’est toute la communauté qui émerge. Notre rôle doit être de l’encourager.
Koujichagoulisme en Italie
Il y a des figures et des voix en Italie qui tentent à leur manière de faire entendre la voix Noire : l’observatoire Afropolar presidé par Farafin Sâa François Sandouno, Kwanza Musi Dos Santos, Oumar Barry, Abdul Karim Assahly, l’association StraVox, Africa1, Codai, Isak Nokho, Selena Peroly, Francesca Hadija Sanneh, Afrobrix etc.. (activisme afrodiasporique), Groupe Blaqkash (musique) , Fred Kudjo Kuworno (cinéma) Antonio Dikele Distefano via les Black Event (et aussi le cinéma), et bien d’autres personnes/plateformes.
Il existe différentes réalités et différentes figures, des Femmes Noires et des Hommes Noirs engagés auprès de la communauté Noire. Ce qui est plus que jamais nécessaire, c’est de créer une connexion entre toutes les forces Noires (les différences importent peu) pour construire quelque chose d’horizontal, avec une mentalité et une élévation verticale. Les Noirs d’Italie doivent appliquer et s’organiser sous le Koujichagoulisme, créer des Réseaux Noirs orientés vers la Base Afrique, qui elle-même devra se structurer en un Pôle Civilisationnel Noir, seule manière d’obtenir la prospérité, la dignité et le respect de la communauté. Un Dieu, un But, un Destin!
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Kunyaza : le secret africain derrière l’orgasme féminin
Découvrez le Kunyaza, l’ancienne pratique sexuelle africaine révélant le secret de l’orgasme féminin. Explorez les témoignages élogieux et les techniques traditionnelles qui transforment l’intimité.
Plongez dans le monde captivant du Kunyaza, une ancienne technique sexuelle africaine révélée par le Dr Nsekuye Bizimana, sexologue renommé originaire du Rwanda. Au cœur de cette pratique se trouve un héritage culturel riche, tissé d’histoires, de traditions, et de secrets transmis à travers les âges. Le travail pionnier du Dr Bizimana, basé en Allemagne, a ouvert les portes à une compréhension plus profonde de cette technique, mettant en lumière la manière dont elle enrichit l’intimité et célèbre la sensualité féminine. Le Kunyaza n’est pas seulement une méthode ; c’est une célébration de l’amour, de la connexion et de la connaissance intime, offrant des expériences transcendantes et profondément ancrées dans la sagesse africaine.
Principes de base du Kunyaza
La technique du tapotement

Le Kunyaza débute par une méthode simple, transmise oralement à travers les générations dans les régions d’Afrique centrale. L’essence de cette pratique réside dans l’art du tapotement, où l’homme utilise délicatement son pénis pour stimuler le clitoris, les lèvres et l’entrée vaginale de sa partenaire. Ce geste délicat est la clé pour déclencher une cascade de sensations.
Pour intensifier l’expérience, le tapotement peut évoluer en mouvements circulaires ou en zigzag, ajoutant une dimension de surprise et de variabilité. La variation entre le tapotement et les frottements, particulièrement en utilisant l’extrémité du pénis, peut enrichir l’expérience, transformant chaque moment en une découverte de nouveaux plaisirs.
Une lubrification adéquate est essentielle pour le confort et le plaisir. Dans la pratique du Kunyaza, une lubrification naturelle comme un peu de salive peut rendre les tapotements plus doux et plus agréables, évitant ainsi toute sensation désagréable due à la friction.
Le Kunyaza est une danse à deux. Si la fatigue se fait sentir chez l’homme, la partenaire peut prendre les rênes, guidant le rythme et l’intensité selon ses préférences. De plus, les femmes peuvent participer activement en tenant leurs lèvres ouvertes, augmentant ainsi l’intensité de la sensation et enrichissant l’expérience mutuelle.
Techniques avancées du Kunyaza

Dans une pratique plus avancée du Kunyaza, l’homme explore au-delà du tapotement initial. Il introduit son pénis dans le vagin, le manipulant avec soin pour créer un mouvement latéral ou circulaire. Cette technique stimule le vagin de l’intérieur, ajoutant une nouvelle dimension de plaisir et d’intimité à l’expérience.
La variété est au cœur du Kunyaza avancé. Alterner entre les mouvements internes et des poussées plus traditionnelles enrichit l’interaction, permettant à chaque partenaire de ressentir une gamme plus large de sensations et de dynamiques.
Selon le Dr Bizimana, la position « classique » du Kunyaza est celle où l’homme est assis et la femme s’installe sur ses genoux, lui faisant face. Cette posture permet une proximité et une connexion intimes, renforçant la complicité et la coordination entre les partenaires.
Reconnaissant la diversité des préférences et des capacités physiques, le Dr Bizimana suggère également des variantes « modernes » du Kunyaza. Ces options incluent des positions plus confortables pour ceux qui préfèrent une approche moins exigeante physiquement, comme la femme allongée sur le dos avec l’homme à genoux entre ses jambes. Cette adaptabilité garantit que le Kunyaza reste une expérience enrichissante et accessible pour tous.
L’art du Kunyaza et l’éveil de la sensualité

La technique du Kunyaza, avec son approche rythmique et intense, est reconnue pour son potentiel extraordinaire à déclencher une série d’orgasmes féminins. Cette pratique est synonyme de profonde satisfaction et d’exploration intime, où chaque geste a le pouvoir de débloquer de nouvelles dimensions du plaisir.
Au cœur de la réputation du Kunyaza se trouve sa capacité à induire l’éjaculation féminine, communément appelée squirting. Bien que le terme « kunyaza » soit associé au mot « uriner » en kinyarwanda et kirundi, il s’agit en réalité d’une libération de cyprine, marquant un sommet d’excitation et de libération pour la femme.
Connue aussi sous l’appellation de « sexe humide« , cette pratique est une célébration de la fluidité et de l’intensité de l’intimité. Cependant, il est important de noter que, malgré son acceptation et son appréciation, certains surnoms moins flatteurs existent, comme « shami ryıikivu » en Rwanda, qui soulignent l’abondance de cette expression physique de plaisir.
En intégrant ces techniques de Kunyaza dans votre intimité, il est essentiel de le faire avec respect, compréhension, et une communication ouverte pour assurer une expérience mutuellement épanouissante et enrichissante.
Témoignages et réflexions sur le Kunyaza

Les témoignages de ceux qui ont exploré la profondeur du Kunyaza offrent un aperçu précieux de son potentiel transformateur. Sylvia Tamale, une chercheuse renommée en sexologie, partage ses réflexions personnelles et souligne l’impact significatif de cette technique lorsqu’elle est maîtrisée avec compétence :
« Avant de rencontrer mon partenaire actuel, j’étais moi-même novice en matière d’éjaculation féminine. Mais si votre partenaire maîtrise l’art du Kunyaza, préparez-vous à vivre une expérience bouleversante, où des flots d’intense plaisir se mêleront à une cascade d’orgasmes multiples. »
Sylvia Tamale, chercheuse en sexologie
Ces mots, empreints de vécu et d’expertise, offrent une perspective authentique sur les dimensions profondément émotionnelles et physiques du Kunyaza, invitant chacun à envisager cette pratique avec curiosité et ouverture.
Préservation et compréhension du Kunyaza : un héritage à valoriser

Le Kunyaza, bien au-delà d’une simple technique sexuelle, représente un patrimoine culturel riche, témoin de la sagesse et de l’expertise intime des cultures africaines. Préserver et approfondir notre compréhension de telles pratiques traditionnelles est essentiel, non seulement pour honorer leur origine historique mais aussi pour enrichir la diversité de notre connaissance sexuelle.
La pratique du Kunyaza, avec ses racines profondément ancrées et son évolution à travers les âges, offre une perspective unique sur l’intimité, la connexion et le plaisir. En embrassant ces enseignements ancestraux, nous nous engageons dans un voyage de découverte et d’appréciation, où chaque tradition nous éclaire sur les multiples façons de vivre et de célébrer la vie.
Ainsi, valoriser le Kunyaza, c’est valoriser une partie intégrante de l’héritage culturel, tout en ouvrant la voie à une exploration plus riche et plus consciente de la sexualité humaine. C’est dans cette acceptation et cette exploration que réside la véritable beauté de la diversité culturelle et de l’expérience humaine.
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Article inspiré de « Kunyaza: African secret to female orgasm » publié par le site Love matters. Lire l’article original
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Kobe Bryant : les 10 citations les plus inspirantes de la légende du Basket-Ball
Découvrez l’esprit invincible de Kobe Bryant à travers ses 10 citations les plus inspirantes. Plongez dans la sagesse de la légende du basket-ball et explorez comment ses mots motivent et éclairent sur la poursuite de l’excellence, la résilience face à l’échec, et l’authenticité dans la vie et la carrière. Laissez-vous inspirer par l’héritage durable de Kobe, une source d’encouragement pour les générations actuelles et futures.
Kobe Bryant, surnommé le « Black Mamba« , a transcendé les limites du basket-ball pour devenir une icône mondiale du sport et de la détermination. Sa carrière légendaire dans la NBA, son dévouement inébranlable et sa mentalité de vainqueur ont captivé des millions de fans à travers le monde. Mais au-delà de ses exploits sur le terrain, Kobe était un maître de la sagesse, partageant des mots qui résonnent bien au-delà du basket-ball. Dans cet article, nous plongeons dans l’esprit de Kobe Bryant à travers ses 10 citations les plus inspirantes, reflétant son approche de la vie, du succès et de la résilience. Préparez-vous à être inspiré par la perspicacité et la passion d’une véritable légende.
L’héritage de Kobe Bryant : un géant du basket et du sport

Le monde du sport et bien au-delà a été ébranlé par la tragédie qui a emporté Kobe Bryant, surnommé « Black Mamba« , un géant du basket-ball, dans un tragique accident d’hélicoptère à Calabasas, en Californie. La disparition soudaine de Kobe, à l’âge de 41 ans, et de sa fille Gianna, âgée de seulement 13 ans, ainsi que de sept autres passagers, a plongé les fans et les admirateurs dans un deuil mondial.
Kobe Bryant n’était pas seulement un joueur de basket : c’était un symbole de détermination, un pionnier qui a repoussé les limites du possible sur le terrain de basket. Sa carrière exceptionnelle de 20 saisons, entièrement dédiée aux Los Angeles Lakers de la National Basketball Association (NBA), a été ponctuée de moments mémorables : cinq championnats de la NBA, 18 sélections All-Star, 15 participations à l’équipe All-NBA, 12 nominations dans l’équipe All-Defensive, et un titre de joueur le plus utile de la NBA (MVP) en 2008.
Les hommages n’ont pas tardé à affluer de partout, soulignant non seulement ses prouesses sportives mais aussi l’impact profond qu’il a eu sur la vie de millions de personnes.
Un esprit invincible : la philosophie de Kobe Bryant

Kobe Bryant n’était pas seulement un joueur de basket, c’était un maître de la mentalité gagnante, un véritable symbole de la persévérance et de la détermination. Son état d’esprit, souvent décrit comme l’incarnation de la « Mamba Mentality« , repose sur une quête incessante d’excellence, une capacité à surmonter les obstacles et une volonté inébranlable de se dépasser.
- La détermination implacable : Kobe a toujours été reconnu pour sa détermination implacable. Il voyait chaque défi comme une opportunité de se surpasser et refusait de se laisser abattre par les revers. Ses performances sur le terrain étaient le reflet de cet état d’esprit combatif, où chaque match était une bataille à gagner.
- Une Éthique de travail inégalée : L’éthique de travail de Kobe était légendaire. Les entraînements matinaux, les séances de gym prolongées et les heures de pratique supplémentaires étaient sa routine. Il croyait fermement que le talent sans travail acharné est inutile, et il a prouvé que la discipline et l’engagement peuvent mener à la grandeur.
- La Persévérance face à l’adversité : Les blessures et les échecs n’ont jamais découragé Kobe. Au contraire, ils ont alimenté sa détermination à revenir plus fort. Son retour triomphal après une blessure au tendon d’Achille est une preuve de sa résilience et de sa capacité à transformer la douleur en force motrice.
Pour rendre hommage à son héritage, qui dépasse largement le cadre du basket-ball, nous vous présentons 10 de ses citations les plus inspirantes qui reflètent sa philosophie, sa vision de la vie, et son inébranlable esprit de gagnant.
Il faut devenir fort, un roc. Sinon, on ne survit pas. L’année a été très difficile. Ici, à Los Angeles, les médias sont très agressifs et oui, ils ont peut-être tendance à me juger avant l’heure. Même les fans sur le terrain semblent m’avoir déjà jugé, mais ce sont des fans, ils font leur travail, je n’ai pas de ressentiment. Je joue au basket, c’est ma thérapie. Je m’évade pour échapper à ce qui m’arrive. Peut-être que je m’amuse plus à l’entraînement qu’en match
Cité dans Riccardo Romani, Kobe and LeBron, face to face between Lakers’ present and future, Corriere della Sera, 16 février 2004.
Quand j’étais jeune, mon état d’esprit était l’image, l’image, l’image. J’ai adopté cette approche avec les médias. Avec l’expérience, je me suis rendu compte que, quoi qu’il arrive, les gens vont vous aimer ou ne pas vous aimer : Quoi qu’il en soit, les gens vont vous aimer ou ne pas vous aimer. Soyez donc authentique et laissez-les vous aimer ou non pour ce que vous êtes réellement. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à donner des réponses directes et franches. J’y ajoutais un peu d’humour et de sarcasme. Je pense que les fans et les journalistes ont fini par apprécier cela, par apprécier le vrai moi.
The Mamba Mentality : How I Play (2018), « KEEP IT REAL. »
Oublie-toi ! Parce qu’il ne s’agit pas de toi, mec. Ok, tu te sens gêné. Tu n’es pas si important ! Arrête de te prendre la tête ! Tu t’inquiètes du regard des autres, tu te promènes et c’est gênant parce que tu as lancé cinq airballs… Remets-toi en question.
Entretien avec Patrick Bet-David, 23 août 2019, publié sur YouTube.
Je n’arrive pas à croire à quel point 20 ans se sont écoulés rapidement. Je veux dire, c’est fou… Me tenir ici, sur le terrain, avec mes coéquipiers derrière moi, et apprécier le chemin que nous avons parcouru… J’ai grandi en tant que fan inconditionnel – je le pense vraiment – des Lakers. Un cœur à toute épreuve. Je veux dire que je connaissais tout de tous les joueurs qui avaient joué ici. Le truc qui m’a fait craquer toute la nuit, c’est qu’en fait, pendant 20 ans, tout le monde a crié « passe la balle » et j’ai dit « pas de passe » (rires)… (Je dois aussi remercier) ma famille : ma femme, Vanessa, mes filles, Natalia et Gianna. Merci pour votre sacrifice… Que puis-je dire ? Mamba Out !
Un discours après le dernier match de Bryant, 13 avril 2016, posté sur YouTube.
C’est difficile à décrire. Soudain, vous vous sentez plein de confiance, vos jambes sont fortes, vous avez une bonne vue du panier et vous commencez à marquer. Au bout d’un moment, vous êtes convaincu que chaque tir est destiné au panier, même les mauvais. Même les mauvais.
Cité dans Riccardo Romani, Bryant infallible in three-point shooting, Corriere della Sera, 9 janvier 2003.
En tant que jeune joueur, je me sens responsable de perpétuer les exploits de [Michael] Jordan et d’autres joueurs, tant sur le terrain qu’en dehors.
Qui remplacera Mike, « Pro-Basket. Magazine » n° 5/99 (33), p. 47
Mon cœur supportera les défaites, mon esprit supportera le travail, mais mon corps sait qu’il est temps de dire au revoir.
Dear Basketball, The Players’ Tribune, 29 novembre 2015
« La chose la plus importante est d’essayer d’inspirer les gens pour qu’ils puissent être excellents dans ce qu’ils veulent faire.«
Huffington Post, 5 Kobe Bryant Quotes To Inspire Greatness and Keep Entrepreneurs Motivated
« La dernière fois que j’ai été intimidé, c’était à l’âge de 6 ans, lors d’un cours de karaté. J’étais ceinture orange et l’instructeur m’a ordonné de me battre contre une ceinture noire qui avait quelques années de plus que moi et qui était beaucoup plus grande. J’ai eu très peur. J’étais terrifié et il m’a botté le cul. Mais ensuite, j’ai réalisé qu’il ne m’avait pas botté les fesses autant que je le pensais et qu’il n’y avait pas vraiment de raison d’avoir peur. C’est à ce moment-là que j’ai compris que l’intimidation n’existait pas vraiment si vous étiez dans le bon état d’esprit. »
Kobe Bryant, Foxsports.com
« Je ne peux pas m’identifier aux paresseux. Nous ne parlons pas la même langue. Je ne vous comprends pas. Je ne veux pas vous comprendre. »
Kobe Bryant, 247sports.com
L’héritage continu de Kobe Bryant : inspirer les générations futures

Kobe Bryant a laissé derrière lui bien plus que des records et des trophées. Son héritage est un phare d’inspiration, guidant non seulement les jeunes talents du basket-ball mais aussi tous ceux qui aspirent à l’excellence dans divers domaines de la vie. Les paroles de Kobe, empreintes de sagesse, de détermination et de persévérance, continuent de résonner dans les cœurs et les esprits à travers le monde, insufflant la motivation et l’inspiration nécessaires pour surmonter les défis et réaliser ses rêves.
L’esprit de Kobe, immortalisé à travers ses citations et ses actes, transcende le temps et les frontières. Il sert de modèle, rappelant que le chemin vers la grandeur est pavé de travail acharné, de résilience et d’une foi inébranlable en ses propres capacités. Les générations futures regardent vers Kobe, non seulement pour son talent incontesté sur le terrain, mais aussi pour sa capacité à transformer l’échec en fondation pour le succès, et pour sa vision de la vie qui encourage chacun à rechercher sa propre version de l’excellence.
En célébrant l’héritage de Kobe Bryant, nous célébrons l’esprit humain dans sa forme la plus pure et la plus puissante. Son impact dépasse le cadre du basket-ball et du sport, devenant un symbole universel de détermination et d’excellence. Kobe a vécu sa vie en laissant une empreinte indélébile sur le monde, et son héritage continue de motiver, d’inspirer et de guider les générations présentes et futures vers la réalisation de leur potentiel le plus élevé.

Êtes-vous inspiré par la détermination et la sagesse de Kobe Bryant ? Nous vous invitons à partager cet article pour diffuser la puissance de ses mots et son héritage d’inspiration. Dites-nous dans les commentaires quelle citation de Kobe vous motive le plus ou comment sa mentalité de « Mamba » a influencé votre vie. Et si vous cherchez plus d’histoires, de réflexions et de leçons de personnalités inspirantes, explorez notre site pour découvrir une mine de contenus qui sauront vous élever et vous inspirer. Ensemble, continuons à apprendre, à grandir et à aspirer à l’excellence, en suivant les traces de légendes comme Kobe Bryant.
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Plongée dans ‘Nations Nègres et Culture’ : redécouverte des racines africaines
Découvrez ‘Nations nègres et culture‘ de Cheikh Anta Diop, une œuvre révolutionnaire qui redéfinit l’histoire africaine et l’importance de l’Égypte antique. Nofi explore les thèmes clés de ce livre emblématique, soulignant sa contribution à la compréhension de l’identité africaine et de la civilisation mondiale. Parfait pour les passionnés d’histoire, d’anthropologie et de culture africaine. Plongez dans cette analyse approfondie pour saisir l’essence de l’héritage africain.
Dans un élan de redécouverte et de réappropriation de l’histoire africaine, « Nations nègres et culture » de Cheikh Anta Diop se présente comme une œuvre incontournable, dévoilant les richesses souvent occultées de l’Antiquité africaine. Publié en 1954, ce livre audacieux et érudit bouscule les narratifs historiques établis, en plaçant l’Afrique et en particulier l’Égypte antique au cœur de la civilisation mondiale.
À travers cette fiche de lecture, nous explorons les arguments percutants de Diop, qui, avec rigueur scientifique et passion pour son continent, remet en question les perspectives eurocentriques et réaffirme la grandeur de l’héritage africain. Cet article vise non seulement à offrir un aperçu détaillé de l’œuvre, mais également à inspirer nos lecteurs à se plonger dans les pages de ce texte fondamental, qui continue de façonner la compréhension de l’histoire et de la culture africaines.
Titre et date de l’œuvre : Nations Nègres et Culture

« Nations nègres et culture: de l’Antiquité nègre égyptienne aux problèmes culturels de l’Afrique noire d’aujourd’hui » est un ouvrage de Cheikh Anta Diop, publié pour la première fois en 1954. Ce livre, qui relève du genre historique et anthropologique, a marqué un tournant dans l’étude de l’histoire africaine et de la culture noire.
Courte biographie de l’auteur et ses autres œuvres majeures :

Cheikh Anta Diop (1923-1986) était un historien, anthropologue, et physicien sénégalais. Il est reconnu pour ses travaux sur l’histoire de l’Afrique et la place de l’Afrique dans l’histoire de l’humanité. Diop a été un fervent défenseur de l’idée que l’ancienne civilisation égyptienne était fondamentalement africaine. Parmi ses autres œuvres importantes, on trouve « L’Afrique noire précoloniale » et « Civilisation ou barbarie« . Voici une frise chronologique simplifiée retraçant les moments clés de la vie de Cheikh Anta Diop :
- 1923 : Naissance de Cheikh Anta Diop à Thieytou, Sénégal.
- 1946 : Diop part pour Paris pour poursuivre ses études supérieures. Il s’inscrit à la Sorbonne et étudie la physique, la chimie, l’histoire, et l’anthropologie.
- 1951 : Présentation de sa thèse de doctorat, « Nations nègres et culture« , qui est initialement rejetée en raison de ses idées révolutionnaires sur l’histoire africaine.
- 1954 : Publication de « Nations nègres et culture« , qui devient un ouvrage de référence dans les études africaines.
- 1960 : Retour de Diop au Sénégal après l’indépendance du pays. Il devient professeur à l’Université de Dakar.
- 1966 : Fondation du laboratoire de radiocarbone à l’Université de Dakar, où Diop effectue des recherches pionnières sur la datation des artefacts historiques africains.
- 1974 : Participation au colloque du Caire de l’UNESCO sur « L’origine de l’homme de culture en Égypte ancienne« , où Diop présente des preuves soutenant l’origine africaine de la civilisation égyptienne.
- 1981 : Publication de « Civilisation ou barbarie« , un autre ouvrage majeur qui approfondit ses théories sur l’histoire africaine et la civilisation égyptienne.
- 1986 : Décès de Cheikh Anta Diop à Dakar, Sénégal.
Résumé du texte :

« Nations nègres et culture: de l’Antiquité nègre égyptienne aux problèmes culturels de l’Afrique noire d’aujourd’hui » est un ouvrage emblématique de Cheikh Anta Diop, publié en 1954. Dans ce livre, Diop présente une analyse exhaustive et révolutionnaire de l’histoire et de la culture africaines, en mettant particulièrement l’accent sur l’importance de l’Égypte antique dans l’histoire mondiale et son identité en tant que partie intégrante de l’Afrique noire.
Le livre débute par une critique des perspectives historiques eurocentrées qui ont longtemps minimisé ou ignoré la contribution de l’Afrique à la civilisation mondiale. Diop remet en question ces récits et propose une relecture de l’histoire, affirmant que l’Égypte ancienne était une civilisation noire africaine et que ses réalisations sont fondamentales pour comprendre non seulement l’histoire de l’Afrique mais aussi celle du monde.
Diop utilise une multitude de disciplines, y compris la linguistique, l’anthropologie, l’histoire et la physique pour étayer ses affirmations. Il examine les similitudes linguistiques entre les langues égyptiennes anciennes et les langues africaines modernes, analyse les représentations artistiques et les pratiques culturelles, et utilise des méthodes scientifiques pour examiner la pigmentation de la peau des anciens Égyptiens.
Outre l’histoire de l’Égypte, « Nations nègres et culture » aborde également les problèmes culturels et identitaires de l’Afrique noire contemporaine. Diop souligne l’importance de connaître l’histoire et la culture africaines pour forger une identité africaine forte et pour combattre les récits coloniaux qui ont longtemps dévalorisé l’Afrique et son peuple.
Enfin, le livre est un appel à l’action pour les Africains et les personnes d’ascendance africaine pour embrasser leur riche héritage culturel et historique. Diop plaide pour une renaissance culturelle africaine, où l’éducation et la connaissance de l’histoire africaine sont au cœur de la construction d’un avenir prospère pour le continent.
« Nations nègres et culture » reste une œuvre fondamentale dans les études africaines, et les thèses de Diop continuent d’influencer et de susciter des débats dans les domaines de l’histoire, de l’anthropologie et de la politique culturelle.
Les thèmes principaux :
L’origine africaine de la civilisation égyptienne, la contribution de l’Afrique à la civilisation mondiale, l’eurocentrisme dans l’histoire, l’identité culturelle africaine
Analyse et réflexions autour de chaque thème :

L’origine africaine de la civilisation égyptienne : Diop présente des preuves linguistiques, culturelles, et anthropologiques pour soutenir sa thèse, remettant en question les perspectives historiques traditionnelles et soulignant la nécessité de reconsidérer l’histoire de l’Égypte dans un contexte africain.
« C’est un matériau de plus du travail qui a permis d’élever l’idée d’une Égypte nègre au niveau d’un concept scientifique opératoire. Pour tous les auteurs antérieurs aux falsifications grotesques et hargneuses de la moderne égyptologie, et contemporains des anciens Égyptiens (Hérodote, Aristote, Diodore, Strabon…), l’identité nègre égyptienne était un fait d’évidence qui tombait sous le sens, c’est-à-dire sous le regard et donc qu’il eût été superflu de démontrer. »
Cheikh Anta Diop, Nations nègres et culture, éd. Présence Africaine, Tome I, Préface de la première édition
Contribution de l’Afrique à la civilisation mondiale : L’auteur met en lumière les contributions significatives de l’Afrique, souvent négligées ou sous-estimées, dans divers domaines tels que la science, l’art, et la philosophie.
« En disant que ce sont les ancêtres des Nègres, qui vivent aujourd’hui principalement en Afrique Noire, qui ont inventé les premiers les mathématiques, l’astronomie, le calendrier, les sciences en général , les arts, la religion, l’agriculture, l’organisation sociale, la médecine, l’écriture, les techniques, l’architecture (…) en disant tout cela on ne dit que la modeste et stricte vérité, que personne, à l’heure actuelle, ne peut réfuter par des arguments dignes de ce nom. Dès lors le Nègre doit être capable de ressaisir la continuité de son passé historique national , de tirer de celui-ci le bénéfice moral nécessaire pour reconquérir sa place dans le monde moderne, sans verser dans le nazisme à rebours , car la civilisation dont il se réclame eût pu être créée par n’importe quelle race humaine – pour autant que l’on puisse parler d’une race – qui eût été placée dans un berceau aussi favorable, aussi unique. »
Cheikh Anta Diop, Nations Nègres et Culture, p. 401, Présence Africaine
Eurocentrisme dans l’histoire : Diop critique la manière dont l’histoire a été écrite et enseignée, en mettant l’accent sur la nécessité de décoloniser l’histoire et de reconnaître les perspectives et contributions africaines.
« Nous avons donc un devoir à accomplir à l’égard de l’Europe : nous devons l’aider à se guérir des vieilles habitudes contractées par suite de l’exercice du colonialisme, l’amener à saisir le vrai sens de ses intérêts qu’elle n’arrive même plus à localiser. L’Europe toute seule est trop faible et a besoin d’un secours pour arriver à se faire. »
Cheikh Anta Diop, Nations Nègres et Culture, Présence Africaine
Identité culturelle africaine : Le livre encourage les Africains et les personnes d’ascendance africaine à embrasser leur histoire et leur culture, soulignant l’importance de l’histoire dans la formation de l’identité culturelle et de la fierté.
« Les Africains doivent bâtir des « humanités » à base d’égyptien ancien, de la même manière que l’a fait l’Occident à partir d’une base gréco-latine. »
Cheikh Anta Diop, Nations Nègres et Culture, Présence Africaine
« Nations nègres et culture » est une œuvre fondamentale qui a contribué à changer la perception de l’histoire africaine et de la contribution de l’Afrique à la civilisation mondiale. Les travaux de Diop continuent d’influencer les études africaines et la compréhension de l’histoire africaine.
Embrasser l’héritage africain : une Invitation à la découverte avec « Nations nègres et culture«

En conclusion, « Nations nègres et culture » de Cheikh Anta Diop est bien plus qu’un simple livre ; c’est une invitation à redécouvrir et à célébrer l’héritage riche et souvent méconnu de l’Afrique. À travers ses pages, Diop nous guide dans un voyage à travers le temps, révélant les contributions significatives de l’Afrique à la civilisation mondiale et remettant en question les narratifs historiques qui ont longtemps marginalisé ce continent. Ce livre est un outil essentiel pour quiconque souhaite comprendre l’histoire africaine dans toute sa complexité et sa splendeur.
Nous vous encourageons vivement à vous plonger dans cette œuvre transformative. « Nations nègres et culture » est disponible pour achat sur NofiStore. En vous procurant ce livre, vous ne faites pas que vous éduquer vous-même ; vous soutenez également le travail important de ceux qui œuvrent pour préserver et promouvoir l’histoire et la culture africaines. Ne manquez pas l’opportunité de posséder un morceau de cette histoire riche et inspirante. Faites le premier pas vers une compréhension plus profonde de l’Afrique et de son impact indélébile sur le monde en vous procurant votre copie aujourd’hui.
Plongez dans l’essence de la culture africaine et de sa diaspora

L’article « Nations Nègres et Culture » offre une exploration profonde des racines historiques, des contributions culturelles, et de l’identité unique des peuples africains et de leurs descendants à travers le monde. Cette analyse riche et nuancée met en lumière la diversité, la résilience, et la richesse des cultures africaines, souvent méconnues ou sous-estimées dans le récit global.
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Griokids : éveillez l’esprit de vos enfants avec la magie des cultures africaines et caribéennes
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