Elie Domota condamné à 300 euros d’amendes pour « violences »

Le leader du LKP, Elie Domota, comparaissait devant le tribunal pour des faits de violence jeudi 15 mars. Un procès attendu pour lequel le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs de la Guadeloupe a reçu de nombre important de soutiens.

Jeudi 15 mars 2018, une foule de citoyens s’étendait sur le parvis du tribunal de Point-à-Pitre.  Les militants de l’union Général a Travayè Gwadloup (Union générale des travailleurs de la Guadeloupe, en français) et sympathisants étaient venus soutenir le secrétaire général du plus grand syndicat de la Guadeloupe. Elie Domota comparaissait devant la justice pour des faits de violence. Une convocation perçue comme une attaque de la part des institutions et une volonté de museler le leader emblématique du LKP. C’est en tout cas le sentiment que partageaient les nombreux guadeloupéens qui attendaient le verdict dans l’effervescence et avec une ferme détermination . L’intéressé à lui-même déclaré être le 107ème militant de l’UGTG à recevoir une « invitation » du Plais de justice depuis 2009. Entre tambours et slogans, notre reporter Nancy Fleurival a capté la tension de cette journée particulière, qui s’est achevée vers 19h sur la révision de l’amende d’Elie Domota. 300 euros au lieu de 2500, un verdict pour lequel il a décidé de faire appel:

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https://nofi.fr/2018/03/elie-domota-leader-syndicaliste-proces/49807

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